Pourquoi le CdR ?

Parce que le monde est trop con, et qu'il faut bien faire quelque chose !

Le CdR, Club des Réfractaires, regroupe deux branches actives : le RRRR, Rassemblement des Réfractaires Révolutionnaires Rebelles, sa branche armée, et la PFFF : Puissante Force Française Fornicatrice, qui s'occupe plus particulièrement des enculés...

Gare à vos fesses, le graviotage est ouvert !

jeudi 19 mars 2009

Les femmes, c'est chiant !

Et même les marques de bière le disent : elles se prennent vraiment trop la tête!
Alors que la vie peut être si simple, quand on est un homme !

vendredi 13 mars 2009

Chute des prix du carbone : la crise permet de polluer pas cher

A plus ou moins 10 euros, la tonne de carbone est actuellement au prix d’un plat du jour. Pas si grave ? Comme de nombreux marchés, celui du carbone, lancé en 2005 (lire ci-contre), est directement touché par la crise. Et le prix de la tonne mollit depuis l’été 2008, où il atteignait 30 euros. «Plus il y a d’activité, plus il y a d’émissions, et plus la demande pour les quotas augmente et fait grimper leurs prix, analyse Anaïs Delbosc, de la mission climat de la Caisse des dépôts et consignations. A l’inverse, une baisse de l’activité économique entraîne la baisse du prix de la tonne de carbone.» «Entre janvier 2008 et janvier 2009, la production de ciment et d’acier a baissé de 40 %, prévient David Rapin, directeur du développement de Bluenext, la Bourse de l’environnement. Il était évident que cela allait jouer sur les émissions de CO2 .» Pour Bluenext, l’équation est simple : un point de croissance du PIB en moins équivaut à 30, voire 35 millions de tonnes de CO2 évitées. C’est autant de quotas qui ne seront pas échangés sur les marchés. Et dont les prix chutent.


Equilibre. Car comment, au fond, se constitue le prix du carbone ? Comme tous les prix : un subtil équilibre entre l’offre et la demande. En l’occurrence, l’offre vient des plans nationaux d’allocation de quotas : chaque Etat européen s’est vu allouer un quota d’émissions de CO2 qu’il a reparti entre ses industries. La demande, elle, résulte de l’activité économique. «Différents éléments font le prix du carbone, détaille Damien Demailly, en charge du dossier climat au WWF. Le nombre de droits à polluer accordé aux industriels, leurs difficultés à atteindre ces quotas, la météo, mais aussi l’activité économique. En période de crise, la baisse de l’activité implique directement une baisse des émissions de CO2.»

Les prix du carbone fluctuent par ailleurs souvent. En février 2007, le prix de la tonne équivalait celui d’un journal, soit 1,30 euro. A l’époque, les pays européens avaient été très généreux avec les industriels et leur avaient accordé de larges droits à polluer. Trop larges puisque ces quotas en surnombre avaient précipité la chute des cours.

Cette fois-ci, le contexte morose joue. Certains industriels en profitent aussi pour vendre leurs quotas et dégager du cash. Même s’ils ne sont qu’à 10 euros la tonne de CO2, cela peut rapporter de substantiels revenus. Les observateurs ont constaté une grosse activité sur le marché fin 2008. «Les secteurs touchés par la crise et en surplus de quotas (acier, ciment, verre…) n’ont pas hésité à vendre pour dégager un peu de trésorerie», explique Anaïs Delbosc.

Les spécialistes de la valeur carbone ne s’attendent pas à ce que son tarif remonte tout de suite, mais ils conviennent que le prix du carbone est condamné à grimper. Lutte contre le changement climatique oblige, les permis de polluer attribués aux entreprises se feront de plus en plus rares dans les années à venir. Et comme les quotas attribués pour la période 2008-2012 pourront être échangés avec ceux de la phase suivante (2013-2020), certaines entreprises n’hésitent pas à se constituer un petit matelas de droits à émettre du CO2. Soit comme réserve de cash, soit, pour celles qui n’auront pas réalisé les investissements adéquats, comme droits à polluer.

En Europe, les objectifs de réduction d’émissions imposeront une baisse de 20 à 30 % par rapport au niveau de 1990. Il faut donc préserver ses quotas ou investir très vite dans des technologies non polluantes. Mais à 10 euros la tonne, le tarif actuel n’est pas assez incitatif pour rentabiliser ces investissements.


Myopie. «Plus le prix est bas, moins on a besoin d’anticiper, estime Damien Demailly. Et les industriels sont atteints par la myopie du court terme alors qu’il faudrait faire des efforts aujourd’hui puisque les choix actuels déterminent l’impact de demain.» Toutefois, «les investissements dans les technologies moins polluantes ne devraient pas être basés sur les prix actuels du carbone, mais sur ceux des années à venir, lesquels seront mécaniquement plus élevés», prévient Anaïs Delbosc. Dans les années 2020, la tonne de carbone pourrait valoir entre 30 et 40 euros. Ceux qui voudront alors vendre leurs quotas - car ils n’en auront pas besoin grâce à leurs investissements propres - seront gagnants. Et pas que financièrement.


Source : Liberation.fr / Laure Noualhat / 09-03-09

vendredi 6 mars 2009

Le viagra® soigne l'impuissance, pas la connerie !

Un homme meurt après 12 heures d'orgie

Moscou, Russie - Un homme est décédé après avoir réussi son pari : un marathon de 12 heures de relations sexuelles non-stop.

Sergey Tuganov a parié 3 400 euros qu'il pourrait passer 12 heures à faire l'amour sans s'arrêter avec deux femmes. Le jeune homme de 28 ans a englouti des dizaines de pilules de Viagra afin de tenir le coup. Mais quelques minutes à peine après avoir gagné son pari, il s'est effondré d'une crise cardiaque et est décédé.L'une des femmes présentes sur les lieux explique : " Nous avons appelé les urgences, mais il était déjà trop tard, on ne pouvait plus rien faire." D'après les médecins, la dose de Viagra ingérée serait la cause de sa mort.

Mardi 3 mars, 13h17
Source : Zigonet.com

jeudi 5 mars 2009

lundi 2 mars 2009

Bientôt des guerres civiles ?

L'article peut faire sourire, mais jaune... Ce groupe de rélexion européen avait prévu il y a quelques temps... Une crise économique pour début 2009

Après la crise financière, la guerre civile ? Préparez-vous à "quitter votre région"...
LE MONDE | 26.02.09 | 21h12

La crise économique et financière va-t-elle dégénérer en violentes explosions sociales ? En Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, la guerre civile est-elle pour demain ? C'est le pronostic quelque peu affolant que dressent les experts du LEAP/Europe 2020, un groupe de réflexion européen, dans leur dernier bulletin daté de mi-février.

Dans cette édition où il est question que la crise entre, au quatrième trimestre 2009, dans une phase de "dislocation géopolitique mondiale", les experts prévoient un "sauve-qui-peut généralisé" dans les pays frappés par la crise. Cette débandade se conclurait ensuite par des logiques d'affrontements, autrement dit, par des semi-guerres civiles. "Si votre pays ou région est une zone où circulent massivement des armes à feu (parmi les grands pays, seuls les Etats-Unis sont dans ce cas), indique le LEAP, alors le meilleur moyen de faire face à la dislocation est de quitter votre région, si cela est possible."

Selon cette association, formée de contributeurs indépendants issus des milieux politiques et économiques et de professionnels européens de différents secteurs, les zones les plus dangereuses sont celles où le système de protection sociale est le plus faible.

La crise serait ainsi à même de susciter de violentes révoltes populaires dont l'intensité serait aggravée par une libre circulation des armes à feu. L'Amérique latine, mais aussi les Etats-Unis sont les zones les plus à risques. "Il y a 200 millions d'armes à feu en circulation aux Etats-Unis, et la violence sociale s'est déjà manifestée via les gangs", rappelle Franck Biancheri, à la tête de l'association. Les experts du LEAP décèlent d'ailleurs déjà des fuites de populations des Etats-Unis vers l'Europe, "où la dangerosité physique directe restera marginale", selon eux.

FAIRE DES RÉSERVES

Au-delà de ces conflits armés, le LEAP alerte sur les risques de pénuries possibles d'énergie, de nourriture, d'eau, dans les régions dépendantes de l'extérieur pour leur approvisionnement et conseille de faire des réserves. Cette perspective apocalyptique pourrait faire sourire si ce groupe de réflexion n'avait, dès février 2006, prédit avec une exactitude troublante le déclenchement et l'enchaînement de la crise. Il y a trois ans, l'association décrivait ainsi la venue d'une "crise systémique mondiale", initiée par une infection financière globale liée au surendettement américain, suivie de l'effondrement boursier, en particulier en Asie et aux Etats-Unis (de - 50 % à - 20 % en un an), puis de l'éclatement de l'ensemble des bulles immobilières mondiales au Royaume-Uni, en Espagne, en France et dans les pays émergents. Tout cela provoquant une récession en Europe et une "très Grande Dépression" aux Etats-Unis.

Doit-on en conclure que la crise mondiale peut se transformer en guerre mondiale ? "Les pronostics de LEAP sont extrêmes, mais la violence sociale pointe", admet Laurence Boone, économiste chez Barclays.

Reste un espoir, une "dernière chance" selon le LEAP, qui résiderait dans la capacité du G20, qui se réunira le 2 avril à Londres, à arrêter un plan d'action "convaincant et audacieux". Dans ce cas, le monde ne serait toutefois pas tiré d'affaire, puisque les experts ne manquent de rappeler que se profile aussi une sévère crise climatique...

Travailler plus pour gagner moins... De neurones???!!!

Travailler plus pour devenir bête

Le travail intensif peut altérer les capacités mentales. C'est à cette conclusion qu'aboutit une étude, parue dans la livraison du mois de mars de The American Journal of Epidemiology. Le phénomène est d'autant plus préoccupant que le sur-travail est monnaie courante. 'Les longues plages horaires sont communes dans le monde entier ; dans les Etats membres de l'Union européenne, entre 12 % et 17 % des actifs ont effectué des heures supplémentaires en 2001', rappellent les auteurs de l'étude.

Une équipe finlandaise a étudié le cas de 2 200 fonctionnaires britanniques, âgés de 35 à 55 ans, sur une longue période, entre 1997 et 1999, puis entre 2002 et 2004. Parmi les sondés, 39 % ont rapporté des horaires hebdomadaires inférieurs à 40 heures, alors que 53 % ont déclaré un emploi du temps de 41 à 55 heures.

Les résultats montrent que ceux qui travaillent plus de 55 heures par semaine ont des capacités mentales amoindries par rapport à ceux qui ont une durée de travail hebdomadaire de 40 heures. Ceux qui avaient une surcharge de travail sont moins bons dans les tests d'évaluation du raisonnement et du vocabulaire.

RAISONS OBSCURES

Les effets constatés sont par ailleurs cumulatifs : selon l'étude, plus la semaine de travail est dense, plus les effets indésirables se font ressentir. Pour parvenir à de tels résultats, les employés ont été soumis à cinq tests différents. Parmi ceux-ci, les scientifiques ont soumis à l'échantillon une liste de vingt mots de une à deux syllabes, en leur donnant deux minutes pour en retenir un maximum.

Si le diagnostic est désormais établi, les causes sont plus obscures. Les scientifiques n'ont pas pu déterminer pour quelles raisons précises la surcharge de travail affectait les facultés mentales. Ils ont toutefois relevé un faisceau de facteurs explicatifs, parmi lesquels figurent une qualité de sommeil inférieure, de la dépression et, d'une manière générale, une hygiène de vie moins bonne.

Cette étude ne constitue qu'une base de départ pour ceux qui l'ont réalisée, car, de leur propre aveu, elle demeure limitée. "La durée de la période d'étude ne semble pas suffisante pour détecter le déclin des fonctions cognitives en général", jugent les auteurs. L'analyse, qui prend pour base des fonctionnaires, "n'est pas représentative de la population active globale", poursuivent-ils.